16-02-2018 Qualité
L’INAO face au défi des Etats-généraux de l’alimentation
Les objectifs de développement des signes officiels de qualité évoqués dans les plans de filière risquent de mobiliser les services de l’INAO. Son président Jean-Louis Piton dit vouloir veiller à ce que ces filières progressent dans la création de valeur mais aussi dans la prise en compte des questions environnementales.
Le projet de plusieurs « plans de filières » agroalimentaires (fruits et légumes, produits laitiers ou élevage-viande) de faire progresser significativement la part des produits sous signe officiel de qualité (SIQO) est accueilli avec intérêt et satisfaction par l’institut national de l’origine et de la qualité (INAO).
Jean-Louis Piton, le président de l’organisation chargée de la mise en œuvre de la politique française pour l’ensemble de ces démarches (AOC/AOP, IGP, STG, Label Rouge, Bio) a estimé lors de la présentation de ses vœux à la presse qu’il partageait « l’ambition et le souhait » des producteurs concernés « de créer de la valeur et de structurer leurs marchés en s’appuyant sur les signes officiels de qualité ».
[…] L’un des principaux chantiers actuels de l’institut en 2018 sera d’intégrer peu à peu des mesures agro-environnementales dans les cahiers des charges des appellations et autres labels. « Il y a une attente sociétale extrêmement forte sur le sujet, à laquelle le bio n’est pas une réponse unique. Les autres signes officiels doivent s’emparer de ce sujet », a expliqué Jean-Louis Piton
Lire la suite de l’article sur le site Agri71